Armes et Pouvoirs : le Reptile n’est pas un grand adepte de la manipulation du Flux, bien que son usage l’impressionne toujours. Il préfère la fiabilité d’une bonne lame au quotidien (et puis il trouvait surtout ça trop compliqué alors il a vite abandonné).
Irhunkyl n’est peut-être pas un grand combattant, mais il sait user avec habileté de ses 3 poignards. L’un d’eux possède une lame assez fine, légèrement plus courte que les deux autres, vraiment peu large, utile pour accéder dans de petits espaces tels qu’un interstice entre 2 bouts d’armure ou pour atteindre la ficelle déclencheuse d’un piège entre deux pierres.
Ses deux autres lames sont juste un peu plus courtes que son avant-bras, trop courtes pour être considérées comme des épées, ce sont cela dit de bien long poignards. Faits d’un fer aux reflets scintillants d’argent, leurs lames sont parées de splendides motifs à la signification qui lui est cependant inconnue. Leurs pommeaux sont aussi ornées de joyaux précieux, de saphirs pour les plus grandes, et un rubis pour la plus fine. Bien qu’il n’utilise que rarement plusieurs dagues à la fois, il vaut toujours mieux en avoir une seconde sous la main. Enfin, bien que ce ne soit pas réellement une arme autrement que pour pourfendre des cafards (il y en a vraiment partout de ces trucs-là ! C’est une infection !), l’Hayat possède aussi une fine lame pas plus longue qu’un pouce, dissimulée dans la jambe gauche de son pantalon, inutile en combat réel, c’est cependant toujours adéquat pour se libérer d’une entrave de corde. La minuscule lame, bien cachée, ne possède pas de manche et passe donc facilement au travers de la plupart des fouilles corporelles
Par un printemps ensoleillé sur les terres sèches des Falaises Rouges, naquirent deux jeunes reptiles Hayats, deux frères, Irhunkyl, et Orzund. L’un avait les écailles aussi vertes que les feuilles du Sol sacré, l’autre, aussi rouge que le sang. En parlant de sang, le leur n’était pas noble, loin de là, fils de personne, simples artisans d’une terre aride. Cela dit, les gens ici ont toujours été, et le sont toujours d’ailleurs, comme une grande famille ! Enfin, pour ceux qui n’ont pas déjà une grande famille ahah, en effet, même si Irhunkyl et Orzund sont les seuls enfants de leurs parents, ils ont cependant… beaucoup de cousins.
Leur tendre enfance fut, comme celle de nombreux enfants, remplie de rires et de joies à se chamailler et explorer ce vaste monde, enfin… tant qu'ils restaient à portée de vue de leur parent évidemment. Très jeunes, les enfants mirent la main à la pâte dans les travaux de leurs parents, les initiant tôt à être débrouillards et à survivre par leurs propres moyens. Leur père était assez sévère sur cette optique, la vie était rude et il en avait fait l’amère expérience, son bras manquant ne le lui rappelait que trop bien. Il lui tenait donc à cœur que ses fils aient une base solide pour aborder la vie.
Leur mère au contraire, était douce et attentionnée, c’était une véritable artiste, le soir, elle chantait de belles comptines pour ses enfants sur les légendes d’Aendryl, douée des mot, elle écrivait également de nombreux poèmes aux rimes splendides, c’était un drame que personne d’autre que sa famille n’eu la joie de les lires. Lorsqu’ils avaient du temps libre, Irhunkyl adorait embêter son frère jumeau, s’ils n’avaient pas des couleurs d’écailles différentes, ils se ressembleraient à s’y méprendre. Ensemble ils ont fait moultes bêtises et bravé nombre d’interdictions.
Vers ses 10 ans, la curiosité insatiable d’Irhunkyl s’accentua et il posa toujours plus de questions sur les dieux et les autres royaumes. Il ne retenait pas tout et reposait souvent les mêmes questions ahah, mais dans ses yeux brillaient une soif de savoir et d’exploration. Pour son anniversaire suivant, sa mère organisa alors son premier voyage, un aller-retour à Nir, village de légende. Cette toute première aventure fascina Irhunkyl. A son retour à la maison, il se vantait d’être le plus grand fan de Klaha et qu’il deviendrait prêtre en son honneur, ou architecte pour bâtir des temples, ou peut-être maçon. Tant d’enthousiasme pour un si jeune garçon, cela faisait rire du monde, d’autant que les possibilités d’avenir étaient ici… tristement limitées.
Mais cela ne découragea pas Irhunkyl, si les autres s'amusaient de sa passion, il prenait aussi un malin plaisir à rire d’eux également, ce qui, curieusement, les fit vite taire. Mais il ne s’arrêta pas sur une si petite victoire, il voulait en apprendre davantage ! Assoiffé d’aventure, c’est à patte qu’il choisit de partir pour explorer les Contrées Oubliées, l’au revoir avec son frère fut pesant, c’était sans doute la première fois qu’ils se séparaient, et l’attente des retrouvailles promettait d’être longue.
Même si le reste de sa famille ne le prenait pas au sérieux, peu lui importait, alors âgé de 12 ans, il entama seul un long périple dans les terres sauvages ancestrales des Hayadhrims. Pendant 5 longues années, il parcourut ce Royaume paisible, enfin, presque paisible. Les habitants étaient pour la plupart très accueillants, certes, mais la météo beaucoup moins… Les orages étaient rares dans la région, de toute sa vie, Irhunkyl n’en avait presque jamais vu (enfin si, plus d’un, mais il était trop petit pour s’en souvenir), et celui qu'il dû affronter était monstrueux. Le jeune explorateur croyait affronter les dieux tant la tempête était violente, le feu tombait du ciel, la pluie avait recouvert le sol jusqu’à n’en plus le distinguer tout volait autour de lui, pierres, arbres ! Ce jour-là l’Hayat écailleux eut bien cru qu’il allait y rester…
Malgré les épreuves sur sa route, il se reconstruit et parvient à rentrer chez lui, il revient fortifier de son expérience. Littéralement. Et éblouis par toutes les merveilles qu’il eut trouvé, aussi dangereuses puissent-t-elles être parfois. Pendant son voyage, son frère avait quant à lui trouver sa voie, les retrouvailles furent gaies et marquées de festivité à leur manière par les deux complices. Cependant, plus le temps passait, et plus Irhunkyl se lassait, l’excitation du voyage et la joie des rencontres lui manquaient. Il aimait sa famille et sa maison plus que tout mais… Quelque chose manquait.
Il tenta donc de se trouver Compagne, avant de découvrir que.. bien peu pour lui, rien ne valait un beau mâle. Mais il ne trouva cependant pas chaussure à son pied. Marqué par son premier périple, il décida de vivre au jour le jour. La vie était déjà assez courte, il n’était pas question d’en perdre une miette ! Passer le temps des lamentations et de l’ennui au travail ! Il était temps de partir ! La vie n’attendait que lui, le monde dehors l’attendait ! Il avait déjà vu tout ce qu’il y avait à voir dans les Contrées Oubliées, il était temps de voir plus grand !
Après tout juste un an à se prélasser sous le soleil des Falaises Rouges, il décida de partir, et cette fois, sa famille comprit qu’il ne plaisantait pas le moins du monde. Son frère, Orzund, avait bien compris qu’il ne pourrait pas l’en empêcher, même si cette nouvelle séparation lui brisait le cœur. Il offrit alors à son frère son cheval, très docile pour l’aider dans son entreprise et peut-être qu’un jour, ils se retrouveraient.
Avec les quelques économies qu’il avait amassé, Irhunkyl se dénicha une carriole dans laquelle il emporta quelques œuvres artisanales de sa famille qu’il troquerait contre foyer et nourriture. C’était le début d’une grande et belle aventure pour le lézard. Au gré de ses voyages, il visita de nombreux villages et tout autant de paysages fabuleux, ramassant ce qu’il trouvait sur sa route et dépendant au début de la générosité des habitants et autres voyageurs. Il amassa ainsi un beau monticule de bric et de broc.
Il se mit alors à marchander, se fit parfois avoir, et parfois même escroqué, mais avec le temps il s’améliora et gagna en arguments jusqu’à devenir un négociateur talentueux. Grâce à ses échanges, il s’enrichit légèrement, la fortune ne l’intéressait pas, mais avec cette petite bourse bien garnie, il pouvait au moins vivre décemment. Toujours accompagné du destrier que lui avait offert Orzund, Irhunkyl vivait dans la plus grande des simplicités sur les routes d’Aendryl, dormant dans une caisse de sa carriole pour tromper les brigands sur sa présence, il empêcha ainsi plusieurs fois de se faire dérober sa ‘précieuse’ cargaison.
Voyageant sans cesse, l’Hayadhrim ne se faisait que peu d’amis car ceux-ci avaient tendance à préférer une vie sédentaire, néanmoins, quand Irhunkyl revenait sur ses pas, il était toujours bon d’avoir un pied à terre. Un beau jour de pluie, l’explorateur tomba sur une exploratrice, une elfe, la dame et elle partageaient beaucoup de points communs. Mais un point les opposais diamétralement, un chat pour être exact, ou du moins ça y ressemblait drôlement. Alors que la charmante elfe semblait adorer cette créature velue plus que la prunelle de ses yeux, Irhunkyl lui… ne l'appréciait guère… La chose était certes mignonne et élégante, elle avait la fâcheuse tendance de se frotter à lui et marcher entre ses pattes en faisant un bruit des plus exaspérant, l’empêchant de profiter pleinement du calme du paysage.
C’est ainsi qu’à peine quelques jours plus tard, alors que les deux amis faisaient routes ensembles et que l’elfe était parti chasser, que le lézard contemplait la splendide vue depuis une falaise. Et que cette diabolique créature le harcelait encore et toujours, décidé à lui faire comprendre qu’il n’était pas un coussin, il donna un violent coup de pied au félin sans vraiment regarder la direction… Et il est possible queee probablement, le chat soit… Peut-être ! Tombée du haut de la falaise pour s’écraser à son pied. De toute évidence, celui-ci n’avait pas 9 vies puisqu’il ne s’est jamais relevé. Il était même… bien plat désormais. De prime abord, Irhunkyl était bien content d’être enfin en paix, jusqu’à ce qu’il se rappelle de la proximité de son amie avec cette créature… Enfin ce qu’il en reste. Aussi ne voulant pas subir son courroux, il prit les rênes de sa carriole et reprit la route au plus vite. Depuis lors, il est possible que la jeune (enfin jeune… Tout est relatif pour un elfe) elfe lui en veuille encore… Il espère juste depuis, ne plus jamais la croiser.
Poursuivant sa route sur les chemins et les sentiers d’Aendryl, l’Hayat se surprit à être nostalgique d’un corps chaud contre lui, d’un bon moment passé avec un homme… A son arrêt suivant, il se surprit encore à lorgner sur les membres exposés des passants. Ayant gardé son caractère moqueur de sa jeunesse, Irhunkyl dit un jour à l’un de ses clients, pour la blague, que le paiement se ferait en nature, quel fut son étonnement lorsque celui-ci accepta ! De ce moment charnel, le reptile garda de très bon souvenirs, et depuis lors, il n’hésite plus à charmer la gente masculine qui vient à son étale. Grand charmeur et bon vendeur (de ses produits autant que de son corps), l’Hayadhrim se fit, bien malgré lui, connaître avec le surnom du Renoncule des Bourses. Le renoncule est une belle fleur d’un rouge éclatant symbolisant la sensualité et la séduction (en plus d'être assortie à ses écailles), tandis que les bourses font bien évidemment référence à celles de clients. Celles qui sont remplies de pièces hein ! Enfin quoique..
Au fil des ans, Irhunkyl voyagea énormément, il avait déjà vu de nombreuses splendeurs, certaines très dangereuses, d’autres beaucoup moins. Il avait visité tous les Royaumes ! (enfin, une petite partie de chaque). Bien que le Royaume de la Désolation soit celui qui lui ait le moins plu, car il y fait bien trop froid toute l’année (et surtout que le reptile est très frileux) c’est cependant là qu’il fit la rencontre hasardeuse d’un maître d’arme. Son savoir était impressionnant, et en échange de quelques marchandises, l’homme tenta de lui enseigner ce qu’il savait, ou tout du moins, le minimum vital pour un marchand qui voyage tant. Il était même surprenant que le lézard ait réussi à faire fi des conflits aussi longtemps à vrai dire.
Le maître tenta d'apprendre à l’Hayadhrim le maniement de l’épée, mais il ne cessait de se blesser tout seul.. De la lance, de la masse, de la hallebarde, du sabre… Mais à toutes ces disciplines, Irhunkyl échoua, il était un bien piètre élève pour réussir à se blesser avant même de commencer un combat.. Il faut dire que malgré son intérêt certain pour la chose, il n’écoutait que la moitié des conseils, cela ne l’aidait pas beaucoup. Toujours frigorifié par les températures du lieu, il était plus occupé par l’idée de se réchauffer que d’affronter des bandits.
Décidé à lui apprendre quelque chose afin de payer sa dette, son mentor n’abandonna cependant pas l’affaire et tenta de lui enseigner le maniement des dagues et poignards. Et ce fut étonnamment ce sur quoi le reptile fut le plus réceptifs, réjouit par ses quelques (maigres mais présents !) progrès, l’homme entreprit de parfaire le maniement de son élève. Si ce garçon ne pouvait se débrouiller avec rien d’autre qu’un couteau, il fallait au moins que sa maîtrise de celui-ci soit exceptionnelle. Ainsi pendant plusieurs semaines, qui devinrent des mois, Irhunkyl se perfectionna, loin d’être imbattable, ses compétences étaient tout de même devenues remarquables et selon son maître “Il devrait pouvoir survivre”.
Fort de cet enseignement, il remercia grassement l’homme qui, gêné de son geste et en cadeau de félicitation de son succès, offrit une paire de splendide dagues au jeune marchant qu’il refusa de ne pas être acceptées. Après plusieurs jours en l’agréable compagnie de celui qui fut un temps son maître, il reprit la route…
Qui sait vers quelles autres aventures rocambolesques, le destin le guidera dans le futur… En attendant, le Renoncule des Bourses continuait sa route et ses échanges.
Physique : Notre jeune Furry est d’une taille assez moyenne, du haut de ses 1m84, ce grand charmeur admire ses clients avec des yeux dorés, hypnotiques, ses fines pupilles un peu plus sombres attirent l’attention, tel une petite barque sur le courant d’un fleuve d’or liquide.
Nu, on peut observer sur son dos, partant de sa tête et jusqu’au bout de sa queue, une chaîne de piques aux allures tranchantes, et pourtant sans danger. Ces petites épines sont en réalité très souple contrairement à sa paire de cornes beaucoup plus solides.
Du museau jusqu’au bout des griffes, l’Hayat est pourvu d’écailles d’un rouge vif. Légèrement plus sombres sur l’extérieur des bras, des jambes et du dos, ce rouge s’éclaircit au contraire sur son ventre et son cou. Bien qu’il ne le montre qu’à ceux qui captent son attention, le lézard est aussi plutôt bien taillé sous ses tuniques, le corps forgé par ses voyages au bout du monde…
Lors de ses fameux voyages, pour rester discret au maximum, Irhunkyl se vêtis surtout de noir, cape longue, léger plastron et pantalon ample. Le tout est toujours obscur et tenu en place par un ensemble d'écharpes de tissus et de divers fioritures, maintenue en place par un imposant médaillon qui ne brille plus depuis longtemps, en son centre se trouve une splendide pierre bleue de Lapis Lazuli. En dehors de ses expéditions marchandes, ce Furry aime aussi se vêtir de tuniques simple aux couleurs plus vives qui se retrouvent facilement au milieu d’une foule (du Bleu azur ou nuit, du Pourpre, du jaune doré, ou encore du vert feuille).
Caractère : Irhunkyl est un Hayadhrim aux multiples talents, il a notamment une facilité d’apprentissage déconcertante, malgré cela, ce jeune lézard est aussi partisan du moindre effort et n’a que peu de détermination. Lors des nuits froides de ses voyages, il aura beau trembler de froid, il ne fera pas de feu s’il n’est pas motivé à le faire, même en ayant tous les outils nécessaires sous la patte c’est dire ! Il met donc peu en pratique toutes les choses qu’il sait, préférant profiter du moment présent. C’est cette philosophie de vie qui le guide en vivant chaque jour pour ce qu’il est, sans rien prévoir pour l’avenir, qui le conduit aussi à profiter de tous les plaisirs les plus simples, notamment charnels… (le coquin !) Grand charmeur aux nombreuses conquêtes, il aime jouer avec les gens et profiter d’un moment de plaisir sensuel plutôt que de s’inquiéter du temps qu’il fera demain ou de son prochain voyage. Cela dit, Monsieur a des critères bien trancher sur ses fréquentations, et préfère une clientèle masculine, qui, par l’occasion, bénéficie de quelques réductions sur ses marchandises. Les gens qui ne l’intéressent pas cependant, peuvent rapidement voir les prix s’envoler, “Il faut bien vivre” se justifiera-t-il à ces derniers (souvent dernières par ailleurs).
Lézard aux multiples visages au gré de ses clients, plus ou moins satisfaits de ses services (quels qu’il soit hehe), Irhunkyl à développé un sens du commerce et des négociation hors pair, ce petit gars pourrait vendre du bois a un bûcheron ! Né dans un lieu reculé où la vie locale peut surprendre par sa simplicité, l’Hayat aime beaucoup se moquer de la vie plus excentrique des gens qu’il rencontre ainsi que des habitudes de chacuns. Cependant il sait tout de même rester empathique et agréable avec ses rares amis et gens de bonne compagnie.Très curieux de nature, Irhunkyl aime apprendre de nouvelles choses, que ce soit des informations plus ou moins utile, ou la pratique d’un art (que ce soit beau comme la danse ou utile comme la forge, peu lui importe). Ce jeune homme peut se montrer très assidu si on lui enseigne, enfin… à condition que son intérêt ne soit pas happé ailleurs en même temps. Mais fidèle à sa flemme légendaire, il ne fera sûrement jamais l’effort de chercher à apprendre ces pratiques par lui-même. De plus, il adore les paysages, autant citadins que campagnards, les territoires d’Aendryl ne cessent de l'émerveiller, cela dit, il ne pourrait se contenter d’un seul lieu pour le reste de ses jours. Il se lasse assez vite d’un même paysage qui ne change pas, et préfère voyager, parfois il ne se déplace que de quelques kilomètres, de l’autre côté d’une ville par exemple pour avoir une vue différente, et parfois il part à l’autre bout du monde pour découvrir de nouvelles choses.
De nature assez solitaire, il est rare que cet Hayadhrim soit accompagné dans ses voyages en dehors de la présence de son cheval pour tirer sa charrette évidemment. Il n’est pas vraiment fait pour une vie sédentaire, et de la même manière qu’il s’intéresse peu à connaître les gens, il s’intéresse aussi peu aux animaux, de là à dire qu’il ne les aime pas serait peut-être exagéré maaiiiis il n’aurait pas le moindre remord à jeter la plus mignonne des créatures du haut d’une falaise si elle le gêne (c’est pas duuuu tout une expérience de vécu, nan). Le seul animal pour lequel il ait un minimum d’estime est son fidèle destrier qui l’accompagne depuis plus longtemps qu’il ne saurait le dire, malgré tout s’il est en présence d’un ami à qui cela tient à coeur il pourrait peut-être faire des efforts.
Enfin, contrairement aux apparences, Irhunkyl est un grand romantique. Au vu de ses manières on peut facilement en douter, il est vrai. Mais s’il venait à rencontrer l’âme sœur… alors tout serait possible. Il braverait l’Ambela et ses démons s’il le fallait, rien que pour prouver son amour. Mais pour l’instant, ce n’est pas d’actualité. Ce lézard est toujours célibataire et sans attaches et profite simplement de ce que la vie lui offre en parcourant la paisible Aendryl.
L’imposant médaillon qui lui sert de boucle de ceinture serait, à ce qu’il paraît, un ancien Huna qui aurait déjà donné sa malédiction. Aujourd’hui ce n’est plus qu’une vieille pierrerie crasseuse et inoffensive…
Venant d’un petit village reculé, Irhunkyl ne connaît absolument pas les grands noms de la noblesse, et ne s’y est jamais vraiment intéressé, aussi il ne faut pas s’étonner s’il aborde un Roi avec autant de manière qu’on aborderait un Paysan.
Le lézard n’aime pas boire de l’alcool de manière générale, son seul péché mignon dans ce domaine, c’est le whisky ! Autrement, il préfère les douces saveurs et odeurs de boissons chaudes comme un bon chocolat chaud.
Il aime aussi beaucoup la couleur ocre qui lui rappelle la poussière et le sable de sa terre natale, mais il est très sévère sur cette couleur, ce n’est pas un banal rouge ou orange, c’est une teinte précise entre les deux. Malheur à vous si vous confondez cette teinte sacrée avec une autre ou osez y comparer ses écailles bien trop rouges pour y correspondre.
Sa plus grande peur ? Perdre sa carriole, et ce qu’elle contient, fruit de toute une vie de voyages qu’il ne supporterait pas de ne plus accomplir.
Nom : Azvendra
Prénom : Irhunkyl
Age : 26 ans
Sexe : Mâle
Orientation Sex : Homosexuel
Race : Hayat
Origine : Contrées Oubliées
Institution : Lambda
Pseudo : qesors_zulypan