Calendrier

Un An

L'année est donc divisée comme suit, en 12 mois, de 30, 31 ou 28 jours, et la semaine est divisée en 7 jours.

Les mois sont les suivants :
Lorlïyo (janvier), en l'honneur de Lorlina

Klahïyo (février), en l'honneur de Klaha

Aquarïyo (mars), en l'honneur d'Aquarea

Tellerïyo (avril), en l'honneur de Telleros

Aerïyo (mai), en l'honneur d'Aerya

Pyrïyo (juin), en l'honneur de Pyros

Balpanïyo (juillet), en l'honneur de tous les dieux

Farïyo (août), en l'honneur de Farae

Alliarÿo (septembre), en l'honneur d'Alliarus

Norkÿo (octobre), en l'honneur de Norke

Droïyo (novembre), en l'honneur de Droïla

Dinïyo (décembre), en l'honneur de Dinya

Une  Semaine

Lunarad (lundi), en l'honneur de la Lunne

Diurnarad (mardi), en l'honneur de Diurneo

Draesarad (mercredi), en l'honneur de Draes

Tinilarad (jeudi), en l'honneur de Tinil

Nayarad (vendredi), en l'honneur de Narya

Balarad (samedi), en l'honneur des dieux

Noctarad (dimanche), en l'honneur de Noctale

Les fêtes et célébrations

Le calendrier aendrylien est parsemé de fête et de célébration, en l’honneur des dieux notamment. La fête des Enfants de la Mort, ou Hinfernes. Le Jour de Lorlina. La fête des esprits élémentaires. L’emprisonnement d’Esus.

Et c’est sans compter un jour annuel pour chaque dieu, entraînant des célébrations au sein des fidèles de chaque dieu. Le 1er Lorlïyo pour Lorlina, le 13 Klahïyo pour Klaha, le 11 Aquarïyo pour Aquarea, le 24 Tellerïyo pour Telleros, le 1er Aerïyo pour Aerya, le 16 Pyrïo pour Pyros, les 5, 6, 15, 20 et 21 de Balpanÿo pour, respectivement, Noctale, Diurneo, Narya, Draes et Tinil. Le dernier week-end ainsi que le nayarad de Norkÿo pour Alliarus, Droïla et Norke. Le 17 Dinïyo pour Dinya.

Le Jour de Lorlina,

Du 1er Lorlïyo au 7 Lorlïyo

C’est probablement la plus grande célébration religieuse de tout Aendryl. Le début de la nouvelle année mais surtout la fête en l’honneur de notre déesse mère. La tradition veut qu’une femme, ou fille, soit choisi et reproduise le voyage de notre déesse. Chaque année, son parcours est différent, et chaque année le voyage dure une semaine. Tout le long du parcours, et dans tout Aendryl, les célébrations sont nombreuses dans les villes et villages, du petit fermier du Pays de la Désolation au grand noble de Lumérill.

La Fête des Esprits élémentaires, 

le 21 Aquarïyo

Il s’agit d’une fête célébrant Aquarea, Pyros, Aerya et Telleros pour la protection qu’ils accordent à toutes les récoltes, toutes les cultures. C’est communément admis comme étant le réel commencement du Printemps. Les plus grandes célébrations de cette fête, qui varient en fonction du village, du hameau ou de la ville, ont lieu dans les villages plutôt que dans les villes. En général, elles font place à des banquets, à des offrandes aux esprits, des danses rituelles.

La Fête des Enfants de la Mort, 

le dernier week-end de Norkïyo ainsi que le nayarad le précédent

C’est le moment où Anedryl rend hommage à tous ces morts, qu’ils remontent à la nuit des temps ou au jour même, Norke ait leurs âmes. Mais c’est aussi la célébration de Norke, Droïla et Alliarus. S’organisant autour de nombreux rituels dans les temples concernées, danse, chant, offrande, etc… c’est aussi l’occasion de faire la fête. Toutes les villes s’y mettent, et Lumérill, pour l’occasion, offre un jeu de lumière et de magie artistique des plus impressionnant. Le soir du dernier jour, un lâcher de lampions est organisé, symbolisant les âmes qui partent pour le jugement avant de revenir sur terre.

Le bannissement d’Esus en Ambéla,

 le 14 Dinïyo

C’est, avec le Jour de Lorlina, probablement la deuxième fête la plus importante, en termes historique. La communauté académique et religieuse est plutôt d’accord pour affirmer que le jour de cette fête est le jour Esus fut banni. A l’occasion, pour commémorer toutes les vies qui ont été perdues à cause du dieu déchu, avant ou après son bannissement, de grandes cérémonies sont organisées dans les plus grandes villes, en compagnie notamment des différents corps des armées. Ce jour n’est pas autant populaire ou festif que d’autres, mais le devoir de mémoire derrière, est capital.